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Vie quotidienne d’une assistante maternelle : comment bien s’organiser ?
Préparation des repas chez une assistante maternelle
Qui dit garde d’enfants dit aussi… Petits ventres à remplir ! Chez vous, chère assistante maternelle, les repas font partie intégrante du quotidien : entre purée maison, biberon bien chaud ou goûter, tout est pensé pour nourrir et chouchouter les enfants gardés. 😋 Mais qui prépare quoi ? Que dit la réglementation ? Et comment s’organiser au mieux ?
Allez on met les pieds dans le plat !
- 🍽️ Les repas peuvent être préparés par l’assmat ou fournis par les parents, selon ce qui est décidé dans le contrat.
- 👩🍳 Une assmat peut cuisiner à la maison pour les pitchouns, à condition de respecter les règles d’hygiène et de sécurité.
- 🥦 Les menus doivent être adaptés à l’âge de l’enfant… et à ses goûts (ou ses grimaces ! 🤣).
- 📝 Une indemnité repas est prévue si l’assmat fournit les repas — elle est négociée librement et facturée en plus du tarif horaire.
- 🚫 Même si l’enfant ne mange pas, le repas proposé reste dû… sauf si ce sont les parents qui l’ont apporté !
- 🧾 Les parents peuvent refuser certains aliments, et l’assmat ne peut pas imposer un menu sans leur accord.
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Qui prépare les repas chez l’assmat ?
Cela dépend du contrat signé entre les parents et l’assistante maternelle : soit vous préparez les repas à la maison, moyennant une indemnité prévue à cet effet, soit ce sont les parents qui les fournissent chaque jour, en fonction des préférences, des habitudes alimentaires… Ou des talents culinaires de chacun ! On vous explique tout ça en détail plus bas ! 😉
L’assmat peut-elle cuisiner à la maison pour les enfants accueillis ?
Oui, vous pouvez tout à fait cuisiner à votre domicile pour les enfants accueillis, à condition de respecter les règles d’hygiène et de sécurité alimentaire. Cela fait même partie de vos missions si c’est prévu dans le contrat. 📝
Que dit la réglementation alimentaire pour les assistantes maternelles ?
Elle repose sur un principe tout simple : garantir la santé et la sécurité des tout-petits pendant les repas. 🥣
On vous donne les grands points à retenir 👇
Hygiène et sécurité : les règles à respecter
Vous devez suivre les règles d’hygiène de base : mains propres, plan de travail désinfecté, aliments bien conservés et cuisson adaptée. Pas besoin d’un diplôme de chef cuistot, mais une cuisine propre et une vigilance au quotidien sont indispensables. 👌
Stockage et conservation des aliments
Les produits frais doivent être conservés au bon endroit (réfrigérateur ou congélateur), les dates de péremption respectées, et les plats préparés stockés dans des conditions sûres. C’est le minimum pour éviter tout souci de santé chez vos bambins.
Allergies et régimes spécifiques
En cas d’allergie ou de régime particulier (végétarien, sans porc…), vous devez adapter les repas ou suivre les instructions des parents. Il est essentiel de bien communiquer dès le début, et d’indiquer toutes les infos dans le projet d’accueil.
💡 Même sans formation HACCP (réservée aux structures collectives), une assistante maternelle se doit d’appliquer les bonnes pratiques alimentaires.
Quand et quoi faire à manger à un enfant que je garde ?
Pas toujours évident de savoir quoi préparer et à quel moment pour nos petits estomacs en herbe ! 😋 Entre les biberons du matin, les purées du midi et les goûters de l’après-midi, il faut jongler entre équilibre, simplicité et gourmandise.
L’idée ? Suivre son rythme et proposer des repas adaptés à son âge.
On vous donne quelques idées juste ici 🔽 :
Exemples de repas types selon l’âge
Voici quelques idées de repas que l’on retrouve souvent chez nos assmats attentionnées :
- Pour les tout-petits (6 à 12 mois) : purée de légumes maison, compote sans sucre ajouté, biberon de lait, bouillie au lait maternel ou infantile.
- Entre 1 et 2 ans : plat mixé ou en petits morceaux (purée + protéines + féculents), yaourt nature ou petit fromage, fruit frais coupé ou compote.
- À partir de 2 ans : repas très proches de ceux des grands, mais adaptés en texture et quantité (ex : riz + poisson + légumes, banane, eau).
Le tout servi avec amour, patience… Et quelques restes sur le bavoir ! 😄
Goûter, déjeuner, biberon… On mange quoi et à quelle heure ?
Le rythme des repas varie légèrement d’une assmat à l’autre, mais suit en général cette jolie partition :
- Matin (si l’enfant arrive tôt) : un petit biberon ou un fruit.
- Déjeuner : entre 11h30 et 12h30, selon l’âge et le rythme de la matinée.
- Goûter : autour de 16h, avec une compote, un fruit, une tartine ou un laitage.
- Biberons : pour les bébés, ils sont donnés à la demande ou selon le rythme déjà mis en place à la maison.
💡Sur Nounou-Top, vous pouvez tenir un petit cahier de liaison, pour noter ce que le bout’chou a mangé, à quelle heure, et si tout a été dévoré… ou chipoté ! Un vrai lien de confiance pour les parents. 🥰
Est-ce à moi ou aux parents de fournir les repas ?
C’est une question qui revient souvent lors de l’accueil d’un nouveau petit poussin : qui fournit les repas ? Moi ou les parents ? La réponse est simple : c’est vous deux qui décidez ensemble, dès la rédaction du contrat. À chacun sa préférence, du moment que le bout’chou mange bien et avec le sourire. 😉
Repas fournis par les parents : avantages/inconvénients
Les avantages :
- Les parents gardent la main sur les menus, idéal en cas d’allergie ou de régime spécial.
- Pas de temps passé en cuisine pour l’assmat.
- L’enfant retrouve des plats familiers et rassurants.
Les inconvénients :
- Les parents doivent penser à tout préparer chaque jour.
- Moins de souplesse si l’enfant n’a pas faim ou veut autre chose.
- Difficile de partager un repas tous ensemble.
Repas préparés par l’assmat : comment ça fonctionne ?
Si vous préparez vous-même les repas :
- Précisez-le dans le contrat avec une indemnité repas à convenir avec les parents.
- Proposez des plats simples, équilibrés et adaptés à l’âge de chaque enfant.
- Respectez toujours les règles de base en hygiène.
- C’est aussi l’occasion de faire du repas un moment de partage et de découverte, où chacun goûte à de nouvelles saveurs.
💡 Certains choisissent une formule mixte – par exemple, les parents fournissent les purées du midi, vous gérez les goûters. Tout est possible tant que c’est bien clair pour tout le monde et stipulez dans le contrat.
Est-ce que les repas sont inclus dans le tarif ?
C’est une question toute légitime… Et la réponse est : non, les repas ne sont pas inclus dans le tarif horaire ! Ils font l’objet d’une indemnité repas, payée à part par les parents employeurs. 🍽️
Frais de repas : comment ça se facture ?
L’indemnité repas est librement fixée entre les parents et l’assmat lors de la signature du contrat. Elle peut être :
- Forfaitaire (même montant chaque jour, peu importe ce que mange l’enfant),
- Ou au réel (selon ce qui est effectivement consommé : biberon, déjeuner, goûter…).
💡 Les montants doivent rester raisonnables et refléter les frais réellement engagés (ingrédients, gaz, électricité…). Pour en savoir plus consultez notre article à ce sujet.
Les parents peuvent-ils refuser de payer si l’enfant ne mange pas ?
Même si le p’tit bout picore ou refuse son assiette, l’indemnité repas est due quand le repas est préparé et proposé.
Eh oui, cuisiner prend du temps et occasionne des frais, même si le poussin n’a pas l’appétit au rendez-vous ce jour-là ! 😅
💡 Si les parents fournissent eux-mêmes les repas, bien sûr, aucune indemnité n’est facturée.
Une assmat a-t-elle le droit de préparer les repas ?
Oui, à condition que cela soit prévu dans le contrat et réalisé dans le respect des règles d’hygiène.
Est-ce que les parents peuvent apporter les repas ?
Absolument ! Dans ce cas, ils devront vous fournir une attestation de repas pour votre déclaration d’impôts !
L’assmat peut-elle imposer son menu ?
Non, une assmat ne peut pas imposer son menu sans l’accord des parents : les repas doivent toujours être discutés et validés ensemble, dans l’intérêt du petit bout.
Les parents peuvent-ils refuser que l’assmat donne certains aliments ?
Oui, tout à fait : les parents peuvent refuser que certains aliments soient proposés, pour des raisons de santé (allergies, intolérances), de convictions (religieuses, éthiques) ou d’habitudes alimentaires… et l’assmat doit respecter ces choix, tant qu’ils sont clairement définis ensemble dans le contrat.